30/1 : Synclinal des Dolines et Trô dè Francès : Visite avec Pol, Aleks, Patrice guidé par Francis des différents trous du synclinal à savoir Trô dè Frances, Roche Perdue, Mâm’diyins, Krypta, Barbar ainsi qu’un nouveau trou à investiguer prochainement.
Ensuite Francis et moi avons fait une petite désob non finie dans le Trô dè Francès dans l’espoir de descendre plus profondément dans le massif.
TPST : 2h15
Photos Francis
28/1 : Grotte de Ramioul : En attendant que l'Arva soit placé au fond de la grotte Nicole Maria Aleks Fred et Nicolas sont allés visiter le réseau Est de Ramioul inférieur. Le ruisseau qui traverse ce réseau Est à deux sources : une première sortant d'une chatière qui fournit la quasi-totalité du débit et une seconde tarie mais dont on aperçoit encore les traces récentes au sol. En suivant ces traces on arrive au bouchon terminal constitué d'un éboulis de boue et de pierres. Les prédécesseurs ont déjà tenté d'avancer dans cet éboulis mais celui-ci est fort instable comme confirmé par Maria qui s'est faufilée jusqu'au sommet. Ces deux endroits méritent toutefois une certaine attention au vu du potentiel qui se cache derrière. Ils sont ensuite retournés à l'aval du réseau pour vérifier la distance qui les sépare de l'autre groupe. La communication avec les talkies-walkies était excellente. L'Arva leur a permis de mesurer une distance d'à peine 4,5 mètres à hauteur du ruisseau là où il s'infiltre entre des blocs. Maria et Nicolas ont donc tenté de désobstruer l'éboulis de pierre et de boue dans cette conduite jusqu'à se retrouver rapidement bloqués par des blocs qui nécessiteraient d'autres moyens pour être enlevés car ils retiennent d'autres blocs. Fred et Aleks ont creusé dans un endroit plus simple d'accès deux mètres plus haut malgré la distance plus importante indiquée par l'Arva (7-8 mètres). Ils ont pu avancer d'un mètre dans cette boue collante et très compacte. Pendant ce temps Maria téméraire s'est faufilée dans une chatière entre des gros blocs qui permet d'accéder à l'extrême aval du ruisseau. Endroit étroit où la méfiance doit rester de mise car certains blocs pourtant d'aspect stable se sont déplacés de quelques centimètres lors de notre passage ! Rejointe par Nicolas et Aleks ils ont pu apercevoir une cascade d'une hauteur d'au moins 5 mètres dans ce puits qui semble être un prolongement de la fissure Henry Bernard. Après avoir attaché la corde autour d'un bloc Maria est descendue vérifier le fond du puits qui s'évase dans le bas et dont les parois sont noires et glissantes. Le fond est rempli d'eau à hauteur d'un mètre avec de la boue en dessous. Les deux extrémités de cette fissure sont fermées dont une par une "plage de boue". Maria est allée visiter l'autre côté une dizaine de mètres plus loin en passant sous la cascade et en revenant à la manière d'Harrison Ford (ou de Tarzan en fonction du style). Cet endroit mériterait d'être topographié car il ajoute facilement une dizaine de mètres supplémentaires à la profondeur totale du réseau.
Du côté de la grotte Nicole, il faut une heure pour aller au fond. Immédiatement à pied d’œuvre, ARVA et W-T sont mis en marche. La distance notée est de 3,6 m ; de bon augure !
Le creusement commence dans une boue bien collante. Par moment, nous entendons des bruits de creuse provenant de Ramioul. Nous nous relayons toutes les vingt minutes mais Tobias a un rendement supérieur ! A son deuxième tour, il dégage en forcené une petite colline et s’octroie 3 m de première.
La prochaine séance devrait, nous y croyons, amorcer la liaison.
Participants : Maria, Aleks, Fred , Nicolas, Pol, Tobias, Patrice
TPST : 4 heures
Photos Aleks et Maria pour la cascade
25/1 : Grotte de Ramioul : Séance photographique avec Gaëtan et son assistant Vincent. Au programme le réseau inférieur qui n'était plus accessible (Co2) depuis quelques décennies. Après la série de puits bien étroits nous progression dans la rivière étonnante notamment pour son parcours très rectiligne. Cavité complète avec des puits, une rivière, des spéléothèmes, du volume.
Participants : Gaëtan et Vincent (GRPS), Jack (C7) et Patrice
TPST : 4 heures
Photos making off : Jack
Et voici quelques photos réalisées par Gaëtan
23/1 : Trô dè Francès : la neige a disparu, pas de pluie… De bonnes conditions pour faire un tour dans cette nouvelle cavité du bois des Manants découverte, il y a peu, par Francis.
Nous avons comencé par un petit percutage permettant d’accéder à une suite. En-dessous de nous, deux petits puits très cupulés. Par chance, nous pouvons descendre un des puits sans corde. Au fond, un léger courant d’air nous incite à persévérer.
Nous explorons quelques diverticules à investiguer plus tard.
Bilan : 30 m de première.
Ce fut une belle sortie !
Participants besogneux : Francis et Patrice
TPST : 3h45
Photos Francis
21/1 : Marche-en-Famenne :
F3 Formation Orientation et lecture de cartesLa troisième formation proposée par l'UBS avait lieu à Marche dans les locaux de Spéléo Lux.Tout été couvert de neige Il y faisait bien froid.Le feu fait dans le local ne nous a pas vraiment permis de nous réchauffer.
Olivier Stassart notre formateur nous a enseigner différentes techniques permettant aux spéléos de retrouver une grotte ou d'en situer une sur une carte. Une partie de la formation a eu lieu sur le terrain.
Nous avons appris :
- Comment trouver le nord
- Comment utiliser une boussole
- Comment lire une carte IGN
- Comprendre les notions de légende, d'échelle et de courbes de niveau d'une carte topographique.
- Calculer ou retrouver un point de coordonnée
- Calculer ou retrouver un point à partir d'azimuts
Participants Emilie, François, Tobias, Fred
TPST : 0h...
Temps passé sur place 8h
14/1 : Grotte de la limite : Wolter et moi avons continué les percutages dans la galerie étroite située à la base du ressaut qui mène à la salle Maria, mais les résultats n’étaient pas très bons ; pendant que Adrie examinait la petite galerie horizontale perchée à mi-hauteur de la cheminée, et qui se dirige vers l’entrée. Ont participé : Adrie, Wolter, Pol. TPST : 3h50.
Photos de Adrie
13/1 : Trou des Sacs : Tandis qu'Adrie a soigneusement retiré les blocs qui étaient entreposés afin de pouvoir les intégrer dans les nouveaux escaliers, Wolter disparut dans le long couloir sud pour transporter les petites quantités de sable et de pierres nécessaires vers le nouveau stockage. En fin d'après-midi, nous avons fait encore 3 percutages ce qui a permis d’avancer de 1 m. En attendant, Adrie a pris les mesures pour installer des tubes Travhydro et une plate-forme métallique pour qu'il n'y ait plus d'effondrements.
Wolter et Adrie. travaillé 4 heures, 10 conteneurs et 1/2 m3 de terre et de pierres déplacés
13/1 : Ramioul et Nicole : Sortie conjointe dans ces deux cavités proches l’une de l’autre pour une tentative de jonction par ARVA ou Walkie-talkie.
La première équipe composée d’Alain, Luc et Patrice est descendue dans la grotte Nicole. Arrivé un peu en retard au fond, nous avons pu néanmoins constatés une distance entre les deux ARVA de 7,5m. A refaire avec des W-T plus fiables. Une séance de creuse dans de la terre glaise extrêmement collante a permis d’affiner le prochain matériel a utilisé.
Luc de son côté a cogité géologiquement :
Faille principale + failles secondaires + proches du contact avec les schistes + stratification = système de Ramioul jusqu’à la route des 36 tournants. Failles et fractures NS particulièrement nombreuses à hauteur du Préhistomuseum = court-circuit de l’ancien Bruta qui coulait avant vers 36 tournants et qui maintenant coule vers la résurgence.
Voilà où mon cerveau en est 😅
La deuxième équipe quant à elle (Nicolas et Jack) ont laissé le W-T en mode émission vu la mauvaise synchronisation. Ils sont ensuite aller fouiner dans le réseau Est et retrouver ainsi le passage par lequel les anciens étaient passés. Après désob de l’éboulement, ils ont pu aller voir le terminus figurant sur la topo, au bout de 20 à 30 m. Chaud pour y faire au minimum une tentative de désob. A noter que le débit est bien plus important dans ce réseau et les volumes pas anodins.
Participants : Jack (C7), Luc (Chercheurs), Alain (Les Fistuleuses), Nicolas et Patrice (GRSC)
TPST : 3 heures (première équipe) – 4 heures (deuxième équipe)
En attaché, un plan de localisation entre toutes les cavités du secteur.
+ Photos de Jack et de Luc
WE 12-13-14/1 : Région Rochefort et Marche :
Ce weekend se déroulait la F2 « Challenge sur cordes » organisée par la Spéléo-J asbl. Objectifs du weekend :
• Application sur le terrain de toutes les techniques de progression sur cordes.
• Parcours dans plusieurs cavités de la région avec mise en pratique des techniques de progression verticale.
• Acquérir de l’expérience.
• Collaborer en équipe durant les parcours souterrains et les moments de convivialité.
Le premier jour de ce weekend de folie se déroulait à Rochefort et le deuxième à Marche-en-Famenne.
Vendredi 12/01 : Nous nous sommes tous rejoints au local scout de Rochefort, lieu de rendez-vous pour le début de la formation. Comme à notre habitude, nous sommes très heureux de nous voir et prêts à vivre de nouvelles aventures. Notre équipe était composée de Fred, Tobias, Kevin et Emilie. Nous sommes également accompagnés de Laurent qui sera notre guide et encadrant pour tout le weekend, ainsi que de Carine, membre de la cordée Mouscron et Colin de la Lorraine belge. Nous prenons l’apéro et mangeons nos petits plats pour être en super forme le lendemain. Ensuite, Laurent nous remémore quelques nœuds intéressants à reconnaître et savoir faire en spéléologie : le nœud en huit double, le nœud de chaise, le nœud papillon, etc. Ce premier soir se déroule parfaitement jusqu’à l’arrivée de nos péripéties aquatiques. Après avoir dompté les inondations survenues dans le local scout, nous n’avons plus d’eau, mais nous avons récupéré le chauffage et sommes enfin au lit.
Samedi 13/01 : Un peu de mal à se lever après une nuit, certes moins froide que prévu, mais un peu plus bruyante… Certains avaient « le nez bouché ». Nous prenons un copieux petit déjeuner pendant que Laurent ainsi que Jean-Luc et Rudy, arrivés ce matin, nous font le briefing pour la journée. On s’équipe, on charge les voitures et c’est parti ! Nous voilà arrivés à l’entrée du Trou du Nou Maulin. On se change dans le froid et on démarre. Comme nous l’avions fait la fois précédente, nous n’entrons pas par le porche, mais par l’entrée supérieure. La descente en opposition est toujours aussi impressionnante et longue, mais nous sentons déjà que nous avons quelques grottes en plus à notre actif. Nous sommes de plus en plus sûrs de nous, mais ne perdons en rien l’effet de surprise et la fascination devant toute cette roche. Nous ne prenons pas le même chemin que lors de notre première découverte, car cette fois nous allons progresser sur cordes. Une fois arrivé dans la grande salle, Laurent équipe le puits pendant que Rudy et Jean-Luc nous rappellent quelques règles de sécurité et nous donnent quelques conseils. Nous nous checkons mutuellement et nous posons une question ou l’autre afin de s’assurer que tout le monde est en sécurité et c’est parti pour progresser sur des cordes verticales. Nous descendons dans le puits jusqu’à la salle en bas. Nous faisons une erreur ou l’autre sans gravité, mais nos guides sont là pour nous rappeler l’importance de chaque geste afin d’assurer notre propre sécurité et celle des autres. Cette première descente a permis de se remettre en jambe et se remémorer les bases apprises lors des formations F1 et F2 à la basilique de Koekelberg. Une fois en bas, nous en profitons pour aller crapahuter et ramper un peu. Nous sommes rappelés par nos encadrants, car il est déjà temps de remonter si nous voulons également aller voir la deuxième grotte. En remontant, nous nous remémorons d’autres techniques de progression sur corde. Une fois en haut du puits, nous nous redirigeons vers la sortie. Cette fois, nous ressortons par là où nous sommes entrés. Nous appréhendions la remontée étroite en opposition, mais nous trouvons nos marques et remontons sans difficulté aucune. Nous sommes restés plus ou moins 3h30-4h sous terre. De retour au local scout, nous reprenons des forces en dînant. Dès le repas terminé, nous ne prenons même pas la peine de ranger. En route pour le Chantoir de la Laide Fosse ! Arrivés sur place, on s’équipe et c’est parti. Rejoints par Simon, nous entrons et avons une nouvelle fois cette impression de voir quelque chose que nous n’avons encore jamais vu. Cette fois il fait plus humide, mais cela ne nous décourage pas. Il fait plus chaud dans la grotte que dehors donc nous sommes très heureux. Ici, en plus des cordes verticales, il s’agit également de progresser sur des cordes horizontales. Nous enchaînons les descentes verticales, les passages plus étroits et les vires avant de descendre un puits. Le temps que tout le monde passe, une fois en bas, il est déjà temps de rebrousser chemin. Nous remontons le puits en escalade, assurés par notre bloqueur de poing. Et c’est parti pour refaire tout dans l’autre sens. Il est parfois plus facile de descendre ou monter sur corde complètement dans le vide qu’à moitié sur la roche, mais nous aimons la difficulté. Nous voilà ressortis. De retour au local scout, nous avons récupéré l’eau, ce qui nous rend les plus heureux du monde après une telle journée. Apéro, douche, débriefing, pizza et dodo ! Une grosse journée nous attend demain. Réveil à 8h.
Dimanche 14/01 : Tout le monde debout ! On s’active, on range tout, on charge les voitures comme ça, c’est fait. Un petit déjeuner avec ce qu’il nous reste à manger et nous quittons. Au revoir le local scout de Rochefort ! Nous voilà en route pour Marche-en-Famenne et le Gouffre du Trotti-aux-fosses. Nous sommes accueillis par Luis qui va nous encadrer avec Laurent et Charlotte qui commence la spéléo. Petit briefing et on démarre ! Après quelques centaines de mètres de marche, nous voilà au niveau du gouffre. Luis nous explique comment ce trou s’est créé et il se met à équiper avec Laurent. Pendant ce temps, nous tâchons de ne pas geler sur place. À chacun sa technique… Nous regardons également comment nos encadrants équipent le gouffre pour que nous puissions y pénétrer en toute sécurité. Il est temps de descendre ! Nous avons le choix : fractionnés, pas fractionnés, gauche, droite, départ plus simple, départ plus compliqué … Nous descendons et remontons sur les cordes à plusieurs reprises afin de pratiquer au maximum les techniques apprises. Laurent nous donne des consignes et des exercices à faire sur corde :
• monter par l’échelle en s’assurant avec notre bloqueur de poing ;
• passer les fractionnés en montant et en descendant ;
• passage de nœuds en montant et en descendant ;
• demi-tour sur corde dans un sens et dans l’autre ;
• progresser avec un kit ;
• défaire un nœud en étant sur la corde ;
Chacun a des exercices à faire en fonction de son niveau. Pendant que certains s’entraînent sur les cordes, notre petite équipé (Tobias, Fred, Kevin et Emilie) est appelée par les étroitures et le crapahutage. Nous visitons le fond du gouffre et testons notre capacité à franchir des étroitures, équipés de notre baudrier et notre matériel. Pas simple… mais on ne se laisse pas faire ! Il est déjà temps de remonter et de déséquiper le gouffre. Le temps passe vite quand on s’amuse… Nous sommes restés aux alentours de 5h dans cet énorme trou, mais ces dernières n’ont semblé n’être qu’une heure ou deux seulement. Nous embarquons le matériel et on redescendons le bois. Luis nous montre l’entrée de deux autres cavités sur notre chemin. Nous voilà de retour au refuge où Luis nous avait accueillis. Nous procédons au débriefing en prenant l’apéro et en nous marrant encore une fois ou deux. Quelle ambiance ce weekend ! Que de belles rencontres et de belles aventures. Nous échangeons nos coordonnées avec les membres des autres clubs afin d’augmenter notre chance de visiter de nouvelles grottes et nous voilà partis. C’est déjà fini ! Nous sommes sur la bonne voie pour devenir des spéléologues autonomes dans le milieu souterrain. Nous avons encore énormément de choses à apprendre et à pratiquer, mais nous sommes prêts et motivés à passer des milliers d’heures sous terre.
Fred, Tobias, Kevin et Emilie
10/1 : Trô dè Francès : Grâce au sens de l’observation de Francis, une petite cavité intéressante a été trouvée dans le bois des Manants. Cela ne paie pas de mine ; genre trou de blaireau mais quand on descend, un sondage donne près de 7m et cela continue. Pour sûr, nous y retournerons !
Cet espoir potentiel a été baptisé sous le nom de « grotte du français » … en wallon.
Participants motivés : Francis et Patrice
Photos Francis et Patrice
7/1: Trou des Sacs : La veille, Wolter s’était rendu dans la grotte, il avait constaté un éboulement d’un demi mètre cube à l’entrée des chambres. Il a aussi scié et poussé de côté des arbres tombés sur le sentier d’accès à la grotte. Nous avons poursuivi le travail. 16 sacs d’argile et de pierres ont été sortis, ainsi que des plus grosses pierres. La voie est libre mais très dangereuse : l’ouverture vers la salle, déjà agrandie par l’éboulement, risque de s’agrandir encore, en entraînant le mur de stockage de pierres. Il faudra déplacer ce mur de pierres.
Participants : Wolter et Pol TPST : 2h15.
7/1 : Grotte des Surdents : Fort des données transmises par le service des barrages, nous nous sommes dirigés du côté de la galerie des Heureux Fêtards. Le trajet a été ponctué de passages de nombreuses baignoires mais le moral est resté bon 😊. Un peu avant la fosse, François a escaladé du côté de la salle de la Nique. Deux départs possibles, à investiguer !
Sur place, plus bas que les Heureux Fêtards, nous avons trouvé et dégagé une amorce de galerie avec courant d’air se dirigeant vers la grotte de Bellevaux. Nous en saurons plus lors de la prochaine séance.
Participants en mode "50 nuances de brun" : Tobias, François, Fred, Aurore et Patrice
TPST : 5 heures.
Photos François
6/1 : Alt 465 : Dans une ambiance « vache qui pisse », nous nous sommes engouffrés dans le « gravier » malmédien. Une équipe a topographié les dernières découvertes dont la galerie baptisée « galerie Botero » du nom du célèbre sculpteur colombien réputé pour ses personnages aux formes rondes et voluptueuses inspirés de l'art précolombien. Le développement passe maintenant à 689 m.
Une autre équipe était occupée à désober une fissure au fort courant d’air.
On se serait cru dans une bétonnière avec un mélange bien dosé d’eau et de gravier.
Participants : Jack, Robs, Cédric, Bobo (C7) ainsi que Déborah, Anthony et Patrice.
TPST : 4h30
Photo réalisée par Bobo
2/1/2024 : Grotte des Surdents : Séance topo de la zone d’entrée y compris le petit réseau découvert par le SC Ostende. Affaire rondement menée !
TPST : 2 heures
Participants : Francis et Patrice